Adresse de la mairie :

22, rue principale 57660 Altrippe

Numéro de téléphone :

03 87 01 84 61

Horaires d'ouverture :

  • Mardi de 8h00 à 12h00
  • Jeudi de 13h30 à 17h30
  • Samedi de 9h00 à 12h00

Adresse e-mail :

mairie.altrippe@orange.fr

Adresse de la mairie :

22, rue principale 57660 Altrippe

Numéro de téléphone :

03 87 01 84 61

Horaires d'ouverture :

  • Mardi de 8h00 à 12h00
  • Jeudi de 13h30 à 17h30
  • Samedi de 9h00 à 12h00

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mairie.altrippe@orange.fr

LES ÉLU.ES :

Maire :

Mr KONIECZNY Alain

Adjoint.es :

  • 1er Adjoint : Mr BIJAYE Gérard
  • 2ème Adjoint : Mr SCHMITT Laurent

Conseiller.es :

  • Mme BAURIERES Martine
  • Mme BLUM Angèle
  • Mr KLEIN Christophe
  • Mr LOUDCHER Ludovic
  • Mr MEDERLET René
  • Mr MOLTER Frédéric
  • Mr NASSOY Vincent
  • Mr SCHMITT Yves
Altrippe

LA COMMUNE :

Nombre d'habitants :

400

Superficie :

Champ vide.

Altrippe a changé de nom au gré des événements. L’origine du nom, la plus plausible, viendrait du latin “alta ripa”: haute rive. Le nom Altrippe était déjà employé en 1358, alors qu’on disait Altripa en 860. En outre, l’abbé Emile Colbus, curé du village de 1871 à 1914, a découvert des emplacements d’anciennes villas, attestant l’existence d’un peuplement gallo-romain et confirmant peut être aussi l’origine latine du nom. C’est la guerre de trente ans (1618-1648), avec son cortège d’atrocités provoqués par l’envahisseur suédois, qui fut à l’origine de la disparition des habitants d’Altrippe. La terreur fut telle que l’on nomma cette période “La guerre des suédois”. Le ban d’Altrippe fut déserté, abandonné et ne fut repeuplé que vers 1660. La région accueille des wallons, picards, savoyards, auvergnats… Mais après leur retour au pays, ils furent remplacés par des alsaciens, tyroliens, autrichiens, suisses. Nos origines et patronymes sont tirées de ce brassage de populations. En 1870, Altrippe, et toute la région, est annexé par l’Allemagne. Ce n’est qu’en 1918 que le village fut à nouveau rattaché à la France. Durant le grande guerre, le village fut déclaré “aire de repos”. En 1916-1917, il servit de base arrière à une compagnie bavaroise. L’occupant fut logé dans des granges et partiellement nourri par l’habitant. L’entre deux guerres est favorable à une mutation dans le travail. La construction des casernes de Leyviller, de la ligne Maginot et l’ouverture de la mine vers les ruraux font que beaucoup de jeunes abandonnent la terre pour s’orienter vers les métiers du charbon et l’artisanat. La déclaration de guerre à l’Allemagne, le 3 septembre 1939, bouleverse toutes les habitudes. Les habitants d’Altrippe sont évacués vers la Charente dès le 1 septembre.

Vie dans la commune non renseignée.
Altrippe

LA COMMUNE :

Nombre d'habitants :

400

Superficie :

Champ vide.

Altrippe a changé de nom au gré des événements. L’origine du nom, la plus plausible, viendrait du latin “alta ripa”: haute rive. Le nom Altrippe était déjà employé en 1358, alors qu’on disait Altripa en 860. En outre, l’abbé Emile Colbus, curé du village de 1871 à 1914, a découvert des emplacements d’anciennes villas, attestant l’existence d’un peuplement gallo-romain et confirmant peut être aussi l’origine latine du nom. C’est la guerre de trente ans (1618-1648), avec son cortège d’atrocités provoqués par l’envahisseur suédois, qui fut à l’origine de la disparition des habitants d’Altrippe. La terreur fut telle que l’on nomma cette période “La guerre des suédois”. Le ban d’Altrippe fut déserté, abandonné et ne fut repeuplé que vers 1660. La région accueille des wallons, picards, savoyards, auvergnats… Mais après leur retour au pays, ils furent remplacés par des alsaciens, tyroliens, autrichiens, suisses. Nos origines et patronymes sont tirées de ce brassage de populations. En 1870, Altrippe, et toute la région, est annexé par l’Allemagne. Ce n’est qu’en 1918 que le village fut à nouveau rattaché à la France. Durant le grande guerre, le village fut déclaré “aire de repos”. En 1916-1917, il servit de base arrière à une compagnie bavaroise. L’occupant fut logé dans des granges et partiellement nourri par l’habitant. L’entre deux guerres est favorable à une mutation dans le travail. La construction des casernes de Leyviller, de la ligne Maginot et l’ouverture de la mine vers les ruraux font que beaucoup de jeunes abandonnent la terre pour s’orienter vers les métiers du charbon et l’artisanat. La déclaration de guerre à l’Allemagne, le 3 septembre 1939, bouleverse toutes les habitudes. Les habitants d’Altrippe sont évacués vers la Charente dès le 1 septembre.

Vie dans la commune non renseignée.

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